ISBN : 979-10-94363-02-7
Sur bookélis 979-10-227-0299-7
Sur lulu 978-1-326-07947-5
Relu et corriger avec robert correcteur version 10,6
le 04/06/2015 123 en 1
Compilation des romans en français Ainsi passaient les jours
L'hitoire du fils de Malika
Isidore -Ainsi passaient les jours Un paysage vallonné découpé par des haies d'aubépines, de ronces, d'églantiers et par endroits, de murettes écroulées. Avec des pierres grises parsemées de couleurs chaudes, où se côtoient des reflets du ciel et les teintes paille des blés mûrs. Tout cela, mélangé à des verts, des bruns intenses. On y grille encore des châtaignes au feu de bois, tout en buvant un vin léger, pour retrouver des senteurs qui réveillent les mémoires. À travers les aventures de Charlou, vous découvrirez la vie rude des paysans du Lévézou. Avec beaucoup de péripéties, et traduction immédiate des -L’histoire du fils de Malika Quand on est jeune et originaire de deux pays, surtout en 1958. On a toujours des problèmes... Mais c’est aussi une richesse.
Rien n'est jamais acquis, il nous reste encore tout à construire.
Il nous faut bannir toutes idées de conquête, d’hégémonie et de racisme.
Voilà ce que j’ai voulu exprimer à travers les péripéties de Farid, qui recherche sa personnalité et son passé. Un drôle de phénomène -Isidore Nadine Passim Mes rêves vont çà et là,
au gré du vent. Cela faisait plus d'un mois qu'Isidore Gayraud avait été contraint, par une grande fatigue, d'arrêter la distribution du courrier, et d’envisager de prendre sa retraite. Tout le monde le regrettait, car il rendait service à l'un ou à l'autre, en apportant un paquet, en faisant une commission. Les vieux l'attendaient pour un coup de main, pour un conseil. On l'accueillait toujours avec des paroles de bienvenues, et tout en parlant du temps, des récoltes, ne pouvant pas refuser, il buvait un ou deux verres. Bien souvent, son vélo zigzaguait sur le chemin du retour. Un drôle de personnage notre facteur; la casquette sur le côté, un mégot de maïs éteint au coin des lèvres, et le corps penché par le poids de sa sacoche pleine de lettres. Quand Isidore avait trop bu, il bégayait, mais cela ne l'empêchait pas d'être très volubile. Et les dernières tournées, où il fit ses adieux, furent mémorables. C'est certainement un peu pour cela qu'aujourd'hui, son palpitant bégayait également.